Le Doron. Fin juillet, le Doron faiblit. Les neiges ont fondu, le courant se ralentit, mais les remous encore bien nerveux témoignent de l'ampleur que peut prendre ce cours d'eau durant le printemps. Le positionnement haut de l'appareil durant la prise de vue est discutable. En effet, je gagnais en intensité de courant avec un point de vue abaissé, mais je perdais alors l'horizon montagneux... J'ai privilégié la hauteur car ces quelques centimètres de roches lointaines confèrent une grande profondeur à l'image et, en ce qui me concerne, cela était préférable à un effet dramatique supplémentaire. Chacun jugera selon ses propres critères et vos avis seront les bienvenus sur le livre des commentaires. 1/500 s à f10, 30mm de focale en 200 ISO.